7 novembre 2006
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[Extrait de l'épisode - la version intégrale était disponible jusqu'en début 2011]
Après, nous sommes allés dans le grand bassin, celui qui ne peut même pas être homologué pour des jeux olymptypiques, parce que, d’abord, il ne fait que la moitié de la longueur exigée, et ensuite parce que lorsqu’ils l’ont construit, ils ont oublié de prendre en compte l’épaisseur du carrelage, et au final, leur longueur de vingt-cinq mètres ne fait plus que vingt quatre mètres quatre vingt dix-huit.
C’est de la triche, il paraît, par rapport à ceux qui se font chronométrer dans des vrais bassins où ils ont tenu compte de l’épaisseur du carrelage, une longueur qui fait deux centimètres de moins que les autres.
Il n’empêche que ça ne rebute pas la clientèle. Il y a avait un monde dingue !
Le samedi, il faut croire que tous les parents qui veulent profiter de leur week-end, pour se prélasser devant la télé sans être dérangés, envoient leur progéniture à la piscine. Tu aurais vu l’anarchie ! Impossible de nager une longueur complète sans être bousculé, aspergé, touché ou coulé. Quelques mamies ont d’ailleurs dû quitter le bassin, enragées par le fait que des sales gosses avaient osé leur mouiller le dessus des cheveux.
La prochaine fois, elles reviendront avec un cellophane sur la tête. Comme au rayon jambon.
Ça maintient les cheveux au sec, le cellophane. Ça empêche peut-être le cerveau de respirer, mais ça maintient les cheveux au sec !
(pour accéder à la version intégrale, corrigée et définitive du texte, lisez Vivement l'amour !)