28 septembre 2006
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[Extrait de l'épisode - la version intégrale était disponible jusqu'en début 2011]
Soudain, j’ai une montée de perfectionnisme aigu qui me monte au nez : et si je me donnais un petit brin de toilette sous le caleçon ? Non parce que … si jamais le premier rendez-vous dérape et va trop loin … Voyons … Oserais-je ? Quelqu’un pourrait me surprendre, non ?
Je me réfère au conseil impartial de la montre, qui me dit que je dispose d’une marge de manœuvre de trois à quatre minutes.
Allez … Je PEUX le faire !
Je jette un œil à droite à gauche, histoire de bien vérifier que je suis bien seul dans la pièce. Les fenêtres sont en verre dépoli, les deux toilettes sont vides, et pas un bruit ne retentit dans toute la montée d’escalier. Si je laisse la porte bien ouverte, je pourrai entendre venir le danger de loin, et si j’ai vraiment des couilles, c’est le moment de les laver !
En moins de deux millièmes de secondes, je dégrafe la ceinture et déboutonne le pantalon, qui tombe aussitôt jusqu’en bas des jambes. Le caleçon à mi-cuisses, je ne sais pas trop de quoi je pourrais avoir l’air pour quelqu’un qui viendrait à surgir dans cette grande pièce, mais je ne lésinerai pas sur le savon. Il faut que ça mousse !
Ça mousse un peu trop, d’ailleurs … Qu’est-ce qu’il se passe ? Pourquoi ça se met à mousser encore plus à chaque fois que je veux rincer ?
(pour accéder à la version intégrale, corrigée et définitive du texte, lisez Vivement l'amour !)